Be my friend, hold me, wrap me up. | Alice

Depuis un moment, on me considère comme une pauvre fille. Dans mon ancien lycée, on m'appelait le monstre. Et dire que ça n'a jamais été comme ça. Mon père était violent, mais personne ne le savait. Je faisais partie des populaires du lycée. La seule au courant de mon père, qui me ramenait sur terre quand je me sentais envahir par la popularité c'était ma meilleure amie, Meredith. Et je l'ai tué. Sans le vouloir, je l'ai tué. Je lui ai écris d'aller se pendre et elle la fait, comme possédée. Je n'ai jamais voulu qu'elle le fasse. Et elle s'est suicidée devant moi, alors qu'on était en webcam. C'est depuis cet événement que l'on commençais à m'appeler le monstre, reportant des comportements étranges à mes commentaires sur les réseaux sociaux. J'étouffais. J'avais envie d'en finir et j'ai essayé de me suicider. Je suis restée un bon moment à l'hôpital et, à ma sortie, je suis entrée directement à l'Institut Xavier sous la demande de mes parents.

(♀ / ♂) Just talk. - Je me suis renfermée sur moi-même. Je reste silencieuse, reste loin de tout le monde. Je suis un véritable mystère pour certains. J'ai peur de moi, de ce que je peux faire. Et pourtant, tu cherches à savoir qui je suis. Tu essais de te rapprocher de moi. Je te repousse, disant que je ne peux rien apporter de bien. Tu persistes, refusant de me croire. La question est : Finirais-je par céder ?
(TAKEN) Help. - Je suis nouvelle ici, et je n'ai pas vraiment de repère. Tu t'es gentiment proposé de m'aider à m'y retrouver. J'ai refusé. Au final, je me suis perdue dans l'établissement dès le premier jour. Tu es revenu vers moi, tu m'as montré le chemin. Tu es la seule personne qui a eu accès à mon cercle restreint d'amis pour le moment. Tu es bien décidé à ce que je m'ouvre aux autres, que je reprenne confiance en moi, mais je n'en ai pas encore le courage.