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 Le 3ème retour de Giggles !

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Andrew L. Collins

Andrew L. Collins



⊹ INSCRIPTION : 25/06/2016
⊹ MESSAGES : 1
⊹ RACE : Humain avec Génétique Modifié
⊹ JOB : Mercenaire à ses temps perdus, ou alors chieur de première.
⊹ HUMEUR : Sociable et enthousiastement meurtrier





MessageSujet: Le 3ème retour de Giggles !   Le 3ème retour de Giggles ! EmptySam 25 Juin - 2:10


Andrew L. COLLINS


Sam CLAFLIN, C’EST MOI, OÙ CE NOM SONNE COMME CELUI D’UNE BRIOCHE ?
▬ SURNOM/S : Alors, on veut savoir le petit surnom de son chéri ? Chut, chut, chut, je sais que tu sais que tu veux savoir ce que je sais, alors je vais te le dire. On me surnome parfois… Woody Woodpecker, ou Iggy’s, suite à une malheureuse petite vieille, qui est à présent R.I.P six pieds sous terre, qui a mal prononcé mon nom de SUPER Héros detouslestemps, et aussi Tony Tony Tony Stark Jr., j’ai essayé de me faire passer pour lui mais je me suis trompé sur son nom, je crois que même ! Que j’en ai trop fait..

▬ DATE DE NAISSANCE : *biiiiiip* Suite à un inconvénient technique, nous ne pouvons passer l’enregistrement, parce que oui ! C’est un enregistrement !

▬ ÂGE ACTUEL : 22 petites années, et c’est drôle que je ne vieillis pas, serais-je !? Un vampire !

▬ RÉSIDENCE : Comme certains ont pu le voir, Giggles n'aime pas vivre dans le luxe, en tout cas, il aime son taudis, à moitié déglingué par les balles et les drogues, même si cela ne lui pas d'effet, la puanteur remplit littéralement les autres appartements, et il possède un placard secret pour ses victimes, pas si secret que ça en fait parce que c'est le placard à balais, en tout cas, si vous voyez Giggles qui vous demande de venir chez lui pour manger des pizzas devant un bon film, surement pour adulte, fuyez... Vous ne voudrez pas vous voir dégueuler dans un coin.

▬ LIEU DE NAISSANCE : New York, j’aurais aimé vivre à New York. Sinon je ne sais pas où j’ai foutu les pieds, hein ? Perte de mémoire, voyez-vous.

▬ NOM DE CODE : Giggles !

▬ GROUPE : Les Gros Indépendants !!!

▬ JOB : Mercenaire indépendantiste opportuniste dictatorial, ou sinon chieur à ses heures perdus.

_______________
▬ PSEUDO/PRÉNOM : C’y Andrew à l’appareil.

▬ ÂGE : 17 ans, et dans quelques jours 18 ans..

▬ FRÉQUENCE : 7/7, petit peu là tous les jours.

▬ CONNAISSANCE DU FORUM : Par delà la galaxie et les horizons !!! En fait, c’est Peter Quill (le mec qui écoute de la musique comme un naz’) qui m’a fait revenir ici… En fait ! Je regardais un site spécial pour adulte.... En fait, c’est un mensonge, j’étais avant sur PunyGod pour ensuite être sur AmericanTrash et me voilà sur We Coulb Be a Heros de ouf !

▬ PSYCHOLOGIE DU PERSONNAGE :

Bien que l’on puisse définir de base quelques qualités et beaucoup de défauts, Giggles est un personnage imprévisible et changeant, peut-être dû à son déséquilibre de pensée, il est le parfait exemple d’un forcené.
Si nous devons définir un temps soi peu les quelques qualités d’Andrew, nous pouvons commencer par son côté énergique, un exemple simple est de le comparer à un enfant, il ne peut rester sur place, il doit bouger, tout le temps, ce qui n’est pas une qualité propre quand il doit se concentrer sur son boulot.

Il possède un côté imaginatif et créatif, bien que glauque et morbide, il se démarque sur la façon dont il peut tuer les gens, avec toujours plus de décor, de mise en scène et d’originalité… Morbide, non ?

Évidement, il reste une personne authentique, il n’oublie pas que la meilleur façon de se faire comprendre, quand il veut se faire comprendre, est d’être direct, la franchise a du bon, le tact, on ne peut plus. Mais c’est inexistant chez lui.

Giggles est une personne de libre, il n’aime être régit que par lui-même, et encore, il arrive parfois à ce qu’il n’arrive même pas à se mettre des règles propres…

C’est un grand bavard, mais je ne pourrais guère m’avancer sur « de base » ou « de naissance », la folie n’avait-elle pas pu emporter cette langue ?

Comme défaut principal, je devrais même dire que tous ces défauts sont principaux…, est son arrogance téméraire, il aime se montrer au dessus de tout, de vouloir protester qu’il est le meilleur, mais cela n’est-il pas pour se réconforter de son infériorité ? Qui sait. En tout cas, vous le verrez bien revendiquer ses exploits de super hommes à plusieurs reprises, n’oubliez pas de vous boucher les oreilles.
En plus d’être une personne envahissante, Andrew est bruyant et immature, surtout immature, la puérilité pour lui ne lui est même pas proscrite ! Il fait tout ce qui lui passe par la tête, quand il en a envie, et même quand il ne le veut pas, compliquer ?

Et oui, Andrew est une personne compliqué, et peut-être au fond de son cœur, une petite voix lui dit de faire le bon, ce qui peut lui arriver, quand le miracle est là… Drôle de personnage quand on apprend à le connaitre.

Mais personne ne fait long feu apparemment, tout le monde finit par partir loin de ce personnage caractériel et désorganisé.
En plus d’être un vétéran dans le domaine de la drague, il est impatient, enfin quand on sait de base qu’il est immature, on fait de paire.
N’oublions pas que Giggles est une personne typique vulgaire, il ne mâchera pas ses mots, au prix de vos oreilles.
Allez-vous vous approcher de lui ?


▬ POUVOIR/S, CAPACITÉ/S :

Giggles acquit plusieurs facultés dû à l’injection qu’il reçut du scientifique ; personne jusqu’à aujourd’hui, et dû au mauvais tempérament d’Andrew, ne put réellement savoir d’où il pouvait tirer ces pouvoirs. Une hypothèse a été émise sur laquelle la substance injectée venait de l’énergie de Cyttorak, dont le Fléau est le représentant de cet avatar, peut-être qu’un échantillon de ce dernier put faire surface. En tout cas, aucune information n’a été réellement révélée.

Giggles a acquis une mémoire motrice, bien que trop abusé pour des termes personnels, il a une capacité à reproduire des actions rapidement, pour la plupart du temps spontanément.

De plus, ses cellules sanguines se révèlent avoir un mystérieux bouclier organique qui l’empêche de succomber à n’importe quelles substances étrangères. Par ailleurs, en plus que ses cellules soient protégées, sa peau est devenue dense et l’évite de se blesser de n’importe quelle attaque.

Bien que protégé intérieurement et extérieurement de toutes formes d’attaque, la seule faiblesse de sa faculté est les pouvoirs magiques tel que la manipulation de l’esprit, ou encore la télékinésie, et bien d’autres.
Et ça fait bien chier de vomir toutes les deux minutes à cause d’onde magique de je-ne-sais-pas-quoi !



▬ HISTOIRE :

« Sans déconner, je dois me retaper tous le passages merdiques d’introduction de l’ancienne fiche ! Tu penses un peu à ses pauvres lecteurs qui se lisent encore un millier de page de ton histoire merdique ! Quoi ? Mon histoire est merdique… Hum, hum ! Bien sûr que non mais je compte bien remastérisé toutes les senteurs merdiques cachées sous mon canapé… Au moins ça ! Attends, on me dit que je n’ai pas les droits sur ma propre histoire, que je dois fermer ma gueule parce que ça emmerde le monde et on ne dit rien pour les daubes « Spiderman » qu’on te sort tous les six du mois ? C’est l’hôpital qui double la charité là !

Je ne dis pas que Spiderman est un bouffon en pyjama… Hein ? Je viens de le dire ?

Ou j’en étais moi déjà ? Ah oui ! Si tu n’es pas comptant, règle ça avec mon flingue ! Alors là, ça ne fait plus le malin, maintenant que tu joues la poule, va pondre des œufs et me cache plus les pieds dans ma propre histoire ! J’aime qu’on me comprenne, c’est tellement plus simple quand on est tous d’accord.

Salut mes petits lecteurs. Mais non que je ne vais pas tuer mon narrateur, c’est lui qui écrit le mieux d’entre nous deux alors j’ai encore besoin de lui avant de lui mettre une balle entre les deux yeux. Mais non que je ne vais pas le tuer après ça parce qu’il fait bien le café. Bon, vous allez la fermer et écouter mon histoire. Non, non. Je ne suis pas un méchant vilain comme Peter Quill, qui menace mes oreilles avec sa musique de merde ! Je suis tout gentil. Et pour tout vous dire : je vais me marier avec Wanda, bientôt, bientôt. Waaaandaaaa, je t’aime (Je suis toujours à fond sur ma Petite Wandaaa de AmericanTrash). Tu entends, faut pas me dire non, sinon je vais être tout triste. Et comme je ne peux pas me tuer parce que je suis indestructible, je vais mourir de chagrin.

Ah oui ! Vous vous souvenez de l’autre fiche, dans laquelle je terminais rapidement, j’ai changé, j’aime prendre mon temps avec mes lecteurs, j’ai peut-être mûri, hein ? Qui sait. Je suis tellement génial aussi !

Dans mon monde, celui dans lequel j’ai été créé, dans lequel je suis né, dans le merdier dans lequel je me suis mis, enfin bref ! On m’appelle Andrew Collins, en fait, je ne suis pas censé savoir comment je m’appelle, perte de mémoire, c’est con. Ouais, suite à de tragiques événements, je mets des « s » y’en a eu plusieurs, j’ai perdu la mémoire et suis devenu par la même occasion, un fou dégénéré. Mais ça, c’est le psy qui a dit, pas moi. Je ne suis pas fou, nom d’une pipe ! Bon, je suis Giggles, nom de code bande de cons…Bref.

Ok, ok, ok ! Je conçois grandement que vous êtes perdu, mais regardez vos têtes de chèvre. Imaginez une chèvre tranquillement en train de brouter de l’herbe, et qu’elle vous regarde d’un air « brouteur d’herbe ». Sérieusement, vous avez la même gueule. Bon, je vais vous raconter, entièrement mon histoire, ça passera sûrement mieux… »

Passage mode raconteur, parce que je trouve que le terme est super cool…

Ça commence donc par un Prologue qui est La Normalité du Début de la Folie…Mouais, ça aurait pu être plus clinquant comme Comment la Poule eut des Dents ? Ou encore Poils de Fesses me Voilà. Nous passons donc de mon « JE » habituelle à un triste « IL »…Même si c’est moi, la vie est si dur…

-C’est partit, il dit alors, quittant la chambre d’une manière décidée, prêt pour aller au lycée.

Il n’attendit guère un autre instant pour se mettre en route, sifflotant un air méconnu de tous, le ciel était d’un bleu admiratif, et rien n’aurait pu lui enlever la joie qu’il avait en ce moment, non pas de la splendeur du ciel mais de la situation dans laquelle il était. Oui, c’était aujourd’hui, aujourd’hui était sa première…

Fois ? Il va se taper une jolie brunette ? Une blonde peut-être ?

Journée. Je disais journée, c’était sa première journée dans son nouveau lycée. Personne ne pourrait être heureux d’un tel événement…

Craignos, atroce, et totalement con. Au moins, je suis sincère.

Mais pour lui, c’était une nouvelle manière de recommencer sa vie. Oublier ses erreurs, et prendre un nouveau départ. Andrew n’avait jamais eu la réputation d’être un ange tombé du ciel, et encore moins un gangster sortit de l’enfer.

Ni un mouton sans poils ?

Il était simplement une personne incomprise d’un système trop centré sur la manipulation d’une population trop naïve. Lui, il ne l’était pas, et c’était le pourquoi de la méprise avec les gens, naïfs et aveugles. Donc, Andrew avait du plusieurs fois changé d’établissement, cela ne le déranger pas, pas quand il avait la possibilité de déménager. En tout cas, une chose était certaine, malgré qu’il ait eu beau se faire détester des jeunes, aucun n’avait eu la possibilité de le mettre à terre, le redoutable titan qui se tenait devant n’importe quelles injustices.

Oh putain, j’étais un de ses gosses mal rebutés par une société fourbe avec des envies de justice ? En gros, si je n’avais jamais été là, j’aurais été un clochard !? Change cette histoire ! C’est faux, ce n’est pas mon histoire ça… C’est vrai, je l’ai oublié…

Cependant, ce jour était un nouveau jour. Un nouveau départ, il avait compris que dans la vie, rien ne menait aux poings. Et c’est comme ça qu’il s’était juré de ne plus inciter à la violence, de se battre et de se mêler de la vie des autres. Alors les colorations de punk et les regards provoquant, il les avait supprimés !

Ses pas l’amenèrent rapidement sur le devant de l’établissement, alors qu’il inspectait sa tenue entière, il prit une grande respiration. Andrew était un jeune comme un autre, et bien qu’on aurait pu dire bercé par la normalité, ce n’était presque pas le cas, son passé avait tenté à plusieurs reprises de le briser, mais il n’avait jamais cédé. Alors qu’un jeune de passage s’arrêta pour observer le nouveau venu, il put croiser le regard insistant d’Andrew, encore des efforts devaient être faire de ce côté-là, s’enfuyant de l’autre côté de la court.

Seulement un regard ! Quoi ? Tu viens de me dire qu’il…Que je n’ai rien fait ? Attends, il m’aurait relooké comme une gonzesse et je n’aurais rien fait sur sa tronche de… Je vais définitivement porter plainte à l’état américain pour faute d’une falsification dans mes droits !

Andrew avait depuis quelques temps quitté sa famille pour vivre seul, cela n’avait pas été facile. Dans sa famille, mis à part son géniteur et sa tendre mère, il avait une petite sœur adorable, âgé de huit ans.

Le géniteur, le père, était un militaire assidu, corrompu par la sale vie qu’est le champ de bataille et l’horreur de la guerre. De là, on comprenait le pourquoi Andrew était parti, bercé par une éducation de fer, il avait pu voir les mauvais aspects de vivre sous le toit d’un militaire et non d’un père. L’amour ? C’était simple, il n’y en avait pas. Seuls les entraînements sportifs comptaient, et malgré qu’Andrew se pliait aux exigences de son père, il n’avait jamais réussi à le rendre fier. Ce fut sans doute grâce à cela qu’il put être aussi bon dans le combat, et dans le maniement de certaines armes.

Huumhu. Je comprends mieux maintenant que j’aime les flingues et mes petits couteaux chéris.

Finalement Andrew avait quitté loin la maison, s’enfuyant presque, et laissa tomber tous les poids que lui avaient donné son géniteur.

Et ainsi, il en arriva là, dans cet établissement scolaire. Une fois encore, il s’était éloigné d’une chose qu’il pouvait détester : les combats. Mais de même que la chance pouvait le poursuivre, la malchance aussi, un ancien camarade de classe avait fini par se retrouver dans ce même lycée.

Une main se retrouva sur l’épaule d’un jeune lycéen, ce dernier, par simple et pure réflexe du combat, fit une prise, retournant le bras de l’individu pour le faire rencontrer le sol.

-Max ? Qu’est-ce que tu fous ici ?
-Bah, je suis aussi dans ce lycée, et sacré surprise que j’ai eu de te voir ici ! Au fait, tu pourrais lâcher mon bras, ça devient gênant.

Alors que les regards se tournaient vers eux, Andrew le lâcha pour reculer, d’une grimace qu’il reprit :

-Tu viens de ruiner mon plaisir.
-Quel plaisir ? Quelle femme t’a tapé dans l’œil !?
-Personne ! Il râle avant de le regarder d’un mauvais œil.
-Allez, fais pas cette tête, ce n’est pas cool qu’on se retrouve tous les deux dans ce coin paumé ?
-Pas cool du tout.

Andrew put soupirer de voir pareil crétin. Comment avait-il pu se retrouver en face d’un tel con ? Il ne s’attarda pas trop sur ces pensées, et en quelques minutes, il était en classe…Avec Max. Comment l’infortune pouvait le poursuivre comme ça ? Ce ne fut qu’en fin de cours, qu’après avoir entendu la totalité des vannes du bouffon, qu’Andrew quitta rapidement tout le petit monde.

Direction Seal Beach. Et après une vingtaine de minute, qu’il put se retrouver la tête sur le sable, à écouter la mer s’agiter. Une voix familière le tira de son sommeil, alors que son nom résonnait dans son cerveau, il se leva. Au loin, sur le trottoir, une personne des plus singulières secoua des bras. Un sourire vint se loger sur le visage du jeune homme, se levant et allant rapidement vers la petite fille. Une autre silhouette se distingua, il savait déjà qui s’était.

-Que faites-vous ici ?
-On allait à la mairie pour des papiers, et nous t’avons vu. Tu vas bien grand-frère ?
-Bien sûr que je vais bien, toujours en train de t’inquiéter à ce que je vois, il annonça dans une voix réconfortante alors qu’il caressa la tête de sa jeune sœur. Tu as drôlement grandit à ce que je vois.
-Oui ! Bientôt, je serais aussi grande que toi, même si pour l’instant je suis trop petite pour te dépasser.

Sa petite sœur avait toujours une telle spontanéité qu’il ne venait difficilement de ne pas sourire sous ce qu’elle disait.

-Tu nous as manqué Andrew, sa mère attesta.
-Moi aussi. Au fait, tu apprends beaucoup de chose à l’école ?
-Plein, plein, plein ! Tellement de chose que j’ai l’impression que mon cerveau est en feu.
-Wouaaah ! Tu dois travailler dur ?
-Pas comme un cancre de ton genre, une voix rauque apparait.

Il était plus qu’évident qu’Andrew savait de qui appartenait cette voix, démuni de l’appréhension humaine, stricte et rauque. En se retournant, il se surprit à compter le nombre de ride qu’il avait prit depuis leur dernière retrouvaille, semblait-il qu’il avait vieillit.

-Chéri ! Tu pourrais être gentil avec ton fils !
-Comment veux-tu que je sois gentil avec un tel paresseux ?
-Chéri !
-Ne t’inquiète, cela fait plusieurs années que ses paroles ne m’atteignent plus. Je m’en vais, apparemment je dégoûte certaines personnes, il annonça dans un sarcasme avant de partir.

Il ne lui avait pas fallu longtemps pour retourner chez lui, et surtout souffler. Finalement échappé du stress que lui procurait son géniteur, il se laissa glisser sur le canapé du salon. Il n’arrivait pas à savoir pourquoi son père agissait d’une telle manière avec lui, qu’avait-il fait pour qu’il le déteste ? Sûrement que cela restera un secret jusqu’à la fin.

Déterminé à retrouver un quelconque moral, il se releva de cette déprime, de toute façon, en ce moment même, c’était sa maison qu’il l’étouffait. Une fois dehors, il se mit à vadrouiller par ci et là de la ville, et il venait de réaliser qu’il faisait nuit, la lune était presque à son apogée, combien de temps avait-il été sur le canapé ? À réfléchir du pourquoi et du comment ?

Et alors que son corps l’emmena dans le plus profond des fossés, un coup de feu retentit ! Les oiseaux aux alentours prirent peurs et s’envolèrent au loin du bruit. Tandis qu’il aurait du faire de même, son esprit combatif prit le sens opposé. Se rassurant qu’il aurait pu faire quelque chose pour protéger une quelconque personne, il finit par se cacher derrière un bâtiment. Pour fixer d’un œil indiscret la scène : un homme à genoux supplié de quelque chose, alors que plusieurs individus se tenaient devant lui, un seul homme était armé, l’arme pointé sur le front du pauvre type.

Enfin de l’action ! Alors cette fois ci, tu me mets plein de sang, plein de cadavre !

-Alors sale merde de scientiste ! Tu as ramené ce que j’ai demandé ?
-J’ai…S’il vous plait… Laissez partir ma famille maintenant… Ça fait des mois et des mois que je bosse sur… Enfin…

C’est à ce moment là qu’il remarqua une valise. Un homme la lui prit d’ailleurs, assez violemment. Il l’ouvrit pour faire un signe à son supérieur.

-Comment on peut savoir que cela va marcher.
-La ferme ! Le chef déclare en levant la main pour imposer un silence de cadavre.

On a dit cadavre ?

-Jeune maître ? Que se passe t-il ?
-Un sale rat nous écoute. Je sens ta présence !

Était-il fou d’esprit ou simplement trop courageux ? Andrew sortit de sa cachette alors qu’il aurait pu prendre ses jambes à son coup. Décidé à interrompre leur petit stratagème.

-Qui es-tu !?
-Est-ce que tu es un espion envoyé par mon père ? Ou peut-être par une autre famille ?
-Qui sait.

Il ne put s’empêcher de lui envoyer un sarcasme à la figure, soulevant ses épaules pour mettre un doute. Quelle bêtise. En tout cas, le jeune maître, un mafieux, grimaça de rage de ne pas avoir sa réponse, comme un enfant qui n’avait pas eu sa sucette. Les gardes du corps, ou quels qu’ils soient, l’attaquèrent dans les plus brefs délais. Alors qu’Andrew optait pour les esquives rapides, il tenta de se rapprocher du petit scientifique, spectateur de la scène. Il ne mit que quelques coups aux subordonnés, voir même réussi à faire une prise de lutte à un deux, ce qui le laissa sur le carreau. Le jeune maître finit par s’amuser de la présence d’Andrew, c’était un drôle de combattant. Alors que le scientifique récupéra la valise maintenant à ses pieds, Andrew se mit devant lui pour, dans un semblant de protection, le défendre.

Quelle connerie. Cela causa sûrement sa perte. Prit d’un véritable délire, et surtout parce que la peur avait prit possession de son corps, le scientifique planta sans vergogne dans la jambe du jeune homme, sous prétexte que « ce » pouvoir devait se retrouver dans de bonnes mains. Sous la surprise, Andrew tournoya, il ne lui fut pas longtemps avant de se retrouver au sol, sonné par la drôle de substance.

C’est quoi ce bordel ? Je ne peux pas mourir comme ça !?

L’imbécile vieil homme se trouva rapidement la tête contre le sol, une balle entre les deux yeux, se vidant de son propre sang. Le jeune mafieux n’avait pas la bonté d’être patient avec les imbéciles.

-Que faisons-nous de ce type ?
-Vraiment dommage que je n’ai pas pu voir la fin du combat. Je dois donc te tuer mais…Je dois savoir qui a envoyé cet enfoiré. Amenez « là-bas ».

Il éclata la tête d’Andrew contre le sol pour que celui-ci perde rapidement conscience.

Ce fut un sceau d’eau glacé qui le réveilla, alors qu’il ne savait pas où il était, ni comment il avait atterrit là, il sut que ce n’était pas la première chose à comprendre. Il ne lui fallut que quelques minutes pour savoir qu’il risquait de mourir ici, sans doute dans d’atroces souffrances en regardant le sac aux pieds du jeune maître.

-C’est incroyable comme tu es pitoyable, attaché comme ça, tu étais tellement… Plus classe quand tu combattais ! À croire que tu m’as sauvé la vie, tu verrais ta tête, tu as l’air d’être déjà mort… C’est con ça, mais j’ai des projets de tortures pour toi avant que tu ne perdes la vie dans ce trou perdu.
-Vous ne pouvez pas la fermer…Vous parlez autant qu’une donzelle.

Bien envoyé patatruc !

-Petit connard insolent. Mais je vais rester courtois pour le moment. Alors, qui est-ce qui t’envoie ? Mon père ? Une famille quelconque ? Un indépendant ?
-Haha…Hahaha.
-Qu’est-ce qui te fait rire !? Il demanda grinçant des dents.
-Sérieusement, tu t’es regardé ? J’ai l’air d’avoir été envoyé par un autre trou duc de mafieux.
-Je vois… Je comprends…Tu ne veux pas la jouer fine.

Alors que sa tête tambourinait, il n’arrivait pas à avoir les esprits clairs. Ses intestins se tordaient à l’intérieur, comme si une main jouait avec ces fluides internes. Il avait beau combattre la douleur, son corps ne le voulait pas, il rejetait cette substance quel qu’elle soit. À certain moment, on l’entendit grimacer, voire même geindre des gémissements de douleur avant de se reprendre. Son souffle court ne lui permettait pas de faire plus que ces petits bruits d’agonie.

Le jeune maître finit par réfléchir astucieusement, à une façon divertissante de passer le temps. Et en regardant Andrew, un adolescent de dix sept à peine, il put en trouver une, de très divertissante.  Sa tête bascula de droite à gauche, dans un sourire démentiel, à croire qu’il était possédé. Il s’approcha par la suite du jeune homme pour, avec une machette, l’assommer sans somation.

-J’ai une merveilleuse idée qui me vient en tête. Relâchez-le près d’ici. Et recherchez moi sa petite famille, je suis sûr qu’il va aimer ma surprise, apparemment, il m’a étrangement énervé.
-Tout de suite jeune maître.

Attends deux petites secondes ! Il le relâche comme ça ? La logique ? QUEL LOGIQUE ? Je ne comprends pas… Mais c’est quoi ce bordel de merde ! Naaa, mais attend, c'est moi. Ah bah, c'est cool, écoute !

À son réveil, Andrew avait été laissé sur le bord de la route, la douleur empesta chaque part de son corps, engourdit était ses membres. Et avait-il cru qu’il avait été tabassé par ces chiens de mafieux avant d’être jeté comme un déchet sur le trottoir. Mais pour le meilleur des mondes, il était en vie, souffrant, agonisant, mais en vie.

Sa porte claqua, son corps tomba, son cœur se souleva avant que son corps ne se retrouve contre le sol. C’est comme cela que fut son entrée dans son appartement, ni plus, ni moins. Son organisme rejetait des fluides rouges, il ne comprenait pas, mais il vomissait du sang, c’était son sang. Seulement, il resta prostré contre le sol à vomir, jusqu’à l’évanouissement.

Combien d’heure avait passé avant qu’il ne se réveille ? Plongé dans le noir complet, un téléphone se mit à sonner. Ô combien de fois il avait essayé de se soulever pour attraper le téléphone ? Mais il y parvint. Pourquoi avait-il aussi mal ? L’odeur de fer remplissait presque ses narines.

-A…allo…
-Tu sembles encore plus misérable que quand je t’ai jeté dans cette boue, qui, je peux le dire, te convient parfaitement. Est-ce cette chose bizarre que t’a injecté ce fou de scientifique ? Tu vas bien ? Oh désolé, j’appelle depuis le téléphone de ta maman chérie, je n’ai plus de batterie en fait.
-Sale ! Enf…ré
-Ça ne doit pas être jolie à voir, bon ! Tu sais où me trouver. Viens vite, avant que je ne perde patience. Au passage, j’ai du liquider ton père, c’était un sacré paquet de muscle, il a même tué six de mes hommes.
-Je vais te tu…

Il ne put terminer sa phrase que l’autre côté raccrocha. Andrew n’en revenait pas… Son père… mort…Tué par un salaud de mafieux comme lui ! Et tout ça ! C’était de sa faute, tout était de sa faute, s’il n’avait pas été se fourrer dans cette ruelle pour jouer aux héros, il n’aurait jamais…

Je sens les pleurnicheries…Que c’est triste, maintenant bouge toi le cul de perdre ta putain de mémoire et de devenir moi !

Ce fut l’adrénaline qui le poussa à oublier la douleur continuelle de ses membres, gémissant sur le long de la route, il emprunta un taxi. Et dans une exclamation ordonnatrice qu’il demanda d’appuyer sur le bouchon.

Il ne lui fallut que trente petites minutes. Trente minutes pour arriver dans la ruelle où habitait sa famille. Il s’enfourcha vers les deux types qui gardaient l’entrée, un des deux, en voyant Andrew arriver, l’envoya dans un cri de rage par la fenêtre. Se retrouvant rapidement au pied du jeune maître, applaudissant bêtement face à cette entrée fracassante.

Pourquoi c’est moi qui me fais envoyer par la vitre ? Pourquoi !? D’habitude c’est moi qui casse les vitres avec le corps des gens !

-Quelle entrée ! Quelle entrée ! Je n’aurais pas fait mieux.
-Laisse les partir… Personne ne m’a envoyé ! J’ai… Je suis juste…
-Je sais, je sais. Tu es innocent, non ? Je te crois. Mais je trouvais ça intéressant de punir un jeune adolescent pour son manque de respect, envers moi bien sûr. Alors je commence par qui ? Ta sœur ou ta mère. J’aurais voulu tuer ton père devant tes yeux mais tu le sais qu’il a été dur à tenir en main.
-Sale enfoiré ! Laisse-les partir !

Sale enfoiré de type trop patient ! Tue les maintenant !!

Un homme le plaqua contre le sol afin qu’il ne puisse bouger. Soudain, le jeune maître s’écarta, et sa mère se dessina dans le salon, presque pendu au ventilo, les pieds sous la pointe sur la table, mais qu’allait-il bien vouloir lu faire ainsi ?

-Qu’est-ce qui peut bien se passer si ta mère ne peut plus tenir sur ses jambes ? C’est simple, elle se pend ! Super réponse, n’est-ce pas ! Mais pour l’instant, elle a ses jambes pour se tenir sur la table, cela l’empêche donc de se pendre. Complexe, je me dis bien.

Il tenta de faire le lien entre ce qu’il voulait dire et ce qu’il voulait faire, Andrew resta blême face à cette révélation invisible.

-S’il vous plait… Pitié…Ne faites pas ça…

Et merde, ma crédibilité s’envole au loin…

L’indifférent homme retirant du sac un outil des plus communs, qui en un instant devint une arme des plus dangereuses : une scie électrique. Assez rapide pour couper un membre, quels qu’ils soient. Andrew resta prostré contre le sol, suppliant, sanglotant intérieurement.

-S’il vous plait…Non…
-C’est merveilleux ce genre d’engin, personne ne sait à quel point ils peuvent être utile en dehors des situations dans lesquels ils ont été créés.

La mettant en route, il scia sans conscience le milieu des jambes, d’un coup sec, alors que les cris de la mère résonnèrent dans la pièce, ils se firent rapidement assourdir par l’étranglement. Andrew, lui, ne s’empêcha pas de paniquer, il cria, il geint de tout son cœur, il ne voulait pas y croire. Le rire barbare du jeune maître retentissait longuement dans la mémoire d’Andrew, il ne s’en rendit pas compte tout de suite. Cette impuissance qui résidait chez le jeune homme, c’était horrible, la voir lentement aller à la mourir dans la souffrance était horrible. Quand la Mort (gros clin d’œil ;).)vint la prendre pour adoucir son allé vers un monde lointain, le jeune maître n’en resta pas là, voyant le désespoir comblé l’être qu’était Andrew, il amena sa petite sœur.

-Mais qui voilà !
-Non ! NOOOON ! Pourquoi… Vous ne pouvez pas…Tuez moi si le faut mais ne lui faites pas de mal !
-Pas besoin d’en faire un fromage, olalala. Commençons.

Le cinglé fit un signe à un de ses gardes du corps qui lui passa une perceuse, n’attendant pas un instant de plus pour la faire tourner.

-Oui, j’aime beaucoup utiliser des outils de la vie quotidienne, c’est ce qui rend intéressant toute la chose !
-Laisse…la…Laisse-la !!! Enfoiré !!! Ne la touche pas !!

Andrew tenta de se défaire mais l’homme au dessus de lui resserra sa prise comme celle d’un serpent. Et alors qu’il avait oublié la douleur présente dans chacun de ses muscles et de ses os, il tenta de se libérer au prix de sa colonne, mais rien n’y fit. Il ne pouvait pas, pourtant il avait belle et bien entendu sa colonne se tordre. Il ne fit pas attention, trop concentrer vers ce type, ce fou psychopathe !

L’aliéné semblait se délecter de la frayeur du jeune homme, alors que sa sœur pleurait de tout son être, et le sourire de ce type, il était horrible, déformé, désaxé. Ce n’était pas possible de voir un visage pareil, un cauchemar. L’être entier d’Andrew se tordit de crainte. Puis le moment vint où cela arriva, quand le sang gicla jusqu’au visage du grand-frère, il était livide, et vide. Ô combien il avait espéré que tout cela ne soit qu’un mauvais rêve. Il n’entendait plus le cri de sa jeune sœur, il n’entendait plus le rire du cinglé, il ne ressentait plus la pression sur son dos. Tout se passait au ralenti, dans une musique…

De fou cinglé ! ME ! The Comeback !!!!

-Aaah, ça fait du bien d'être enfin moi. Je ne devrais pas dire ça alors qu'on est dans mon propre flashback...

Et le rire du monstre, c’était presque marrant dans l’ensemble. Le déclic. La barre s’était levé au pour faire perdre l’appréhension humaine d’Andrew, non qu’il ne l’avait pas perdu. Mais que quelque chose avait été enlevé pour une simple protection.

Et alors qu’il reprit conscience dans le monde présent, la situation était telle qu’il voyait une petite fille morte juste devant lui, sans yeux apparemment, une jolie dame, en fin de trentaine qu’il aurait pu se faire si elle avait été vivante, était pendu dans le salon, lui manquant des jambes, et un trou duc se poilait le nez devant lui, une perceuse à la main, remplit de sang. Quelque chose tilta.

Ah oui ! Y’a un mec qui m’écrase de tout son poids et ça commence à me prendre les fesses, pour être on ne peut plus polie.

Et alors qu’Andrew se mit à rire de cette situation, parce que la situation était tellement bizarre que ça le faisait rire, le jeune maître commença à avoir des sueurs froides.

-Tu es devenu complètement fou ! Hahahahahahahaha !
-Ta gueule le connard ! Y’a que moi qui aie le droit de rire ! Putain, tu viens de casser l’ambiance, s’pèce de connard.
-Quoi !?

Il finit par perdre patience et brisait la jambe de celui qui le gardait au sol, lui éclatant la tête contre le parquet, à plusieurs reprises, pour éparpiller sa cervelle au quatre coin de la pièce.

-Ça me démangeait depuis un moment, bon, où j’en étais ?

Et alors que le jeune maître voulut protester, il finit par lui planter la perceuse dans l’estomac, sans effet, elle se brisa.

-Je ne savais pas que je pouvais faire ça moi ! C’est super ! La perceuse s’est cassée, tu as vu. Mais attend ! T’as essayé de me buter là, non ?
-Monstre, recule !

Andrew attrapa la scie sur la table pour plaquer l’imbécile et lui enleva sans empathie la tête.

-À tes risques et périls trou duc.

Les derniers subordonnés, pour le peu qui en rester, n’avaient pas fait long feu, et dans un rire déformé, Andrew quitta la maisonnée. Et alors que sa propre folie l’avait mangé, il avait oublié son ancienne vie, sans se demander comment il s’appelait, comment il en était à arriver à avoir des pouvoirs, ou même comment il en était arrivé à être un mercenaire sous le nom de Giggles, réputé pour ses meurtres saccagés et sa débilité profonde.

Non mais oh ! Je suis très intelligent ! Attend, je vais refaire ce paragraphe de merde.

J’en vins à oublier qui j’étais, parce que ce n’était même pas intéressant de savoir quel gosse de beau gosse, je dois l’admettre, j’étais. J’étais emprunt à la destruction, parce que la destruction c’est ce qu’il y a de mieux, et que l’on sait tous que ce qui rime est… véridique ? Et donc même si je ne sais pas qui je suis, ce que j’étais, le pourquoi du comment j’ai des dons de ouf, je suis devenu un mercenaire super réputé, choisi de tous, même plus que Deadpool, qui cause un sacré paquet de carnage. Voilà ! Fin !

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Le 3ème retour de Giggles !
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