sweat dreams ♫ • peter maximoff. 100%

▬ PSYCHOLOGIE DU PERSONNAGE :

Peter est un garçon hyperactif. Il ne supporte que très rarement rester sur place, et s'il l'est c'est qu'il est en très bonne compagnie. Autrement il ressent toujours le besoin de courir, de se faire remarquer et d'utiliser un lexique cinglant quand il s'oppose à des personnes. Au-delà de ça il demeure un garçon très familier qui prend facilement ses aises avec les gens. Il fut rongé par l'interrogation en se question sur Erik Lensherr. C'est sa volonté de se rapprocher de son père qui l'aura rapproché des X-Men. Au début il aurait demeuré une personne prônant l'individualisme de par le fait qu'il soit le seul pouvoir se déplacer aussi vite. Mais depuis qu'il est devenu un X-Men en plus de la bataille contre Apocalypse aura créer en lui l'envie d'aider les autres, et de fournir un beau travail d'équipe. Il pourrait paraître comme un garçon dragueur et qui prend tout au pied de la lettre. Une pile d'optimisme.


▬ POUVOIR/S, CAPACITÉ/S :

Peter est un mutant. Ce dernier possède une vitesse surhumaine qui lui permet d'exceller dans n'importe qu'elle action extraordinaire qui suscite la célérité. A l'origine il pouvait atteindre une vitesse de 280 km par heure, puis sur le long terme il s'est vu capable de dépasser la vitesse du son (1280 km par heure).Sa vitesse de déplacement s'est vite vu atteindre 6115 km/h. Il peut courir sur des centaines de km sans se fatiguer. Il peut créer de véritables cyclones avec sa vitesse, courir sur les surfaces verticales et sur l'eau. Il peut esquiver très aisément des balles de pistolets mitrailleurs et les lasers. Sa corpulence lui permet de résister aux effets de la friction des déplacements à grande vitesse, d'une raréfaction de l'oxygène et des impacts sur son corps quand il se déplace à de telles vitesses. Ses cellules grandissent deux fois plus vite que la moyenne, vieillissant en termes de nombre mais pas physiquement - comme Raven.


▬ HISTOIRE :

Mon père s'est barré aussi vite qu'à la vitesse à laquelle je cours. Et je m'en foutais pas mal. En fait je n'ai jamais réellement ressenti un besoin quelconque d'avoir une présence paternelle. Ma mère et ma petite soeur m'ont toujours suffit, je n'avais pas systématiquement de buts précis dans la vie mais le temps est la médecine qui m'a permi de faire ce que je suis aujourd'hui.

D'ailleurs le temps défile un peu trop lentement à mon sens... Bien que lorsque j'étais gosse... avant que je ne devienne un mutant, tout était si rapide. J'ai même pas vu la vitesse à laquelle j'suis devenu grand frère, c'est dingue non ? Dans mes souvenirs les plus profonds, j'ai toujours fais avec mes pouvoirs.

Je n'ai jamais ressenti une potentielle peur de l'inconnue. Je n'ai jamais eu peur de ce que je pouvais faire, j'ai même maitrisé mon don assez vite. Bon je ne cache pas qu'au début j'en profitais sans faire attention aux premières limites. Ce qui m'a valu le fait d'être connu des forces de polices pour de petits délits quand je voulais m'infiltrer dans un endroit pour voler quelque chose.

Ma mère en avait un peu marre quand j'y repense. Et puis j'ai appris seul à utiliser mon don pour mon propre intérêt. Je m'en sortais pas si mal. Et puis un jour, ces trois mecs ont débarqué chez moi. Charles, Logan et euh... Bozzo le Clown, le gars avec ses gros pieds. Braquer le Pintagone, ouais c'était ça ce qu'ils voulaient que j'fasse.

Il leur manquait un neurone ou quoi ? Non, ils voulaient faire évader le soit disant tueur de Kennedy, Erik Lensherr. Papa quoi. C'est là-bas que j'ai eu le sentiment de prendre beaucoup de risques. Même si je ne risquais absolument rien, j'ai adoré mettre en difficulté toute une équipe des forces de l'ordre sur un fond sonore agréable des années 70.

Au final après cette évasion, je n'ai plus revu ces personnes... pendant dix ans. Dix années à m'occuper de ma soeur, à n'avoir aucun travail. Regarder la télé, apprendre des choses sur l'école de surdoués de Charles. Et c'est en devenant adulte que les interrogations concernant mon père se sont manifestées. Aurais-je dû lui parler de notre lien ?

Ma mère m'avait bel et bien confirmé que j'étais autant sa chaire que son sang. Voilà d'où venait ma nature de mutant. Alors quand j'ai décidé de me rendre pour la première fois au manoir des mutants pour demander où j'pouvais trouver mon père, voilà que je me suis retrouvé à évacuer l'établissement. Une explosion menaçait chaque élève de la résidence, mais je n'ai pas pu sauver juste une seule personne.

Havok je crois ouais. Trop d'informations se sont chevauchées, ces militaires qui nous ont capturé parce qu'on était des mutants. Emprisonnés dans une base dans les montagnes, l'annonce d'un mutant, le tout premier apparemment. Il voulait détruire le monde pour en recréer un nouveau aux côtés de mon père. C'est grâce à Kurt, Jean et Scott qu'on a été libéré avec Mystique, Hank et Moïra.

On a foncé sur la zone de guerre pour sauver Charles, et accessoirement le monde. J'y ai trouvé mon père, mais le moment ne se prêtait pas aux retrouvailles de familles... Il ignorait qui j'étais. Il le saura en temps voulu, voilà ce que je me suis dis. Alors pour l'heure nous nous sommes chargés d'Apocalypse et ses autres Cavaliers pendant que mon père prenait une décision. Et j'ai vite été mis hors combat par le géant bleu, il m'avait fracturé un os.

Bien heureusement, mon organisme se remet vite et j'ai eu affaire à de bons, très bons médecins - autant mutants qu'humains. C'est Jean qui s'est débarrassé d'Apocalypse à l'aide des autres X-Men, et tout le monde eut des p'tits enfants. Nans sans blague. Cette expérience auprès de ces mutants m'a fait ouvrir les yeux sur l'individualisme et ma volonté de protéger ce que je peux, ce qui m'est cher et ce qui le sera plus tard. Je reste un rigolo, un geek, un adulte, mais surtot : un X-Men.