take a breath, rest your head, close your eyes ✘ o. windham

PSYCHOLOGIE DU PERSONNAGE

(+) ambitieuse, courageuse, bon vivre, douce, rêveuse, discrète
(-) réservée, lunatique, méfiante, négative, fragile, franche


POUVOIR/S, CAPACITÉ/S

Sans pour autant le savoir, Olivia est la descendante d'une mutante de l'Égypte antique. Elle acquiert par ailleurs ses pouvoirs : la nyctalopie, qui est la capacité de voir comme en plein jour si l'obscurité n'est pas absolue, la précognition accompagnée de rêves prémonitoires, sans oublier une empathie. Elle est également capable de créer des champs de force et est capable d'un contrôle physiologique.

Cependant, la jeune femme n'en est encore qu'à ses débuts quant à la découverte de ses pouvoirs, se limitant pour le moment à la création de champs de force et de rêves prémonitoires l'effrayant grandement. Son empathie est minime mais pourtant bien présente, et elle ne la contrôle pas du tout, ce qui parfois change ses humeurs du tout au tout selon son interlocuteur et est capable de lui attirer de nombreux problèmes.


HISTOIRE

Je n'ai jamais connu mes véritables parents. Je suis une orpheline qui a été baladée de famille d'accueil en famille d'accueil. Je ne restais jamais très longtemps ; il faut dire que j'étais une enfant insupportable à l'époque, et il était de plus en plus difficile de me trouver un foyer à chaque nouvelle fois. S'il y avait une raison à mon comportement ? Je jouais double jeu juste à cause de parents non connus - et que je ne connais par ailleurs toujours pas- et je refusais d'adopter cette optique de me confier à des inconnus.

Malheureusement, je ne pus réellement trouver un chez-moi, un endroit où je me sentirais assez à l'aise pour m'épanouir, et mon adolescence fut un véritable désastre. Dans tous les cas, je ne laissais aucune chance à ceux qui cherchaient à faire figure parentale. Pourtant, il a bien fallut me placer quelque part. Je n'ai pas vécu grand-chose lors de mon enfance, jusqu'à la puberté où quelque chose de puissant se déclencha en ma petite personne.

Qu'était-ce ? Oh, seulement les prodiges de la mutation. En cet instant-là, l'on m'avait attribuée à une énième famille, et la crise d'adolescence rajoutée à ma conviction que ce nouvel endroit n'était définitivement pas ma place, je les repoussais eux aussi. Mais deux semaines après mon adoption, il se passa une chose qui changera ma vie du tout au tout.

C'était une nuit en rentrant d'un dîner chez des amis de mes nouveaux parents, que la voiture roulant à toute vitesse et qu'une embrouille entre eux éclata, que d'un immense stresse et un semblant de rage m'envahissant, notre véhicule percuta un camion. Ce fut la première fois que mes pouvoirs se révélèrent bien que je n'y fis pas attention, trop abasourdie par le choc de la voiture contre le camion.

De retour à l'orphelinat dès les jours qui suivirent, je commençais à faire des rêves de plus en plus étranges, des rêves qui se réalisaient le lendemain ou même deux jours après. Je me renfermais de plus en plus sur moi-même, terrorisée par certaines visions qui s'exaucèrent. Jusqu'au jour où l'on essaya de me confronter face à face, où l'on essaya de me faire affronter mes soucis, Dorothy qui faisait partie du personnel de l'orphelinat que je repoussais d'un champ de force.

Et encore plus terrorisée par l'apparition de ces dits-pouvoirs, je réalisais que je faisais partie de ce qu'ils appelaient les mutants. Je fus rapidement isolée, pendant plusieurs jours. Dans tous les cas, j'en restais indifférente bien qu'une question perdurait toujours dans mon esprit : qu'allait-on faire de moi ? Ce fut trois jours ensuite que l'on m’amena sans un mot à ce qui s'avérait être une école pour surdoués. Je n'étais pas très convaincue mais après tout, avais-je vraiment le choix ?

Je pense que de ne pas me battre contre cette option a été la chose qui m'est arrivé le mieux dans ma vie. Je me sentais parmi les miens, je me sentais chez moi, et je me sentais surtout en sécurité. Le soutien qu'apportait le Professeur Xavier, et même Mystique ainsi que le reste des X-Men m'aidait énormément. Et plus les jours passaient, plus je comprenais en un sens pourquoi Charles Xavier avait transformé sa demeure en une institut comme celle-ci.